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Lutte contre la corruption: qu’est-ce qui rend si difficile l’évaluation des tiers ?

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49% des entreprises considèrent que l’évaluation de l’intégrité des tiers est la mesure la plus difficile à mettre en œuvre dans de cadre de leurs procédures de lutte contre la corruption. C’est l’une des leçons de l’enquête annuelle de l’Agence Française Anticorruption (AFA) sur les dispositifs anticorruption dans les entreprises.

Consciente de l’enjeu, l’AFA, annonce qu’elle proposera dans les prochains mois de nouveaux outils d’appui méthodologique sur ces sujets car elle le rappelle « un tiers des entreprises répondantes expliquent avoir été confrontées, les 5 dernières années, à un cas de corruption ou de trafic d’influence » !

Mais le rapport ajoute aussi : « Les entreprises rencontrent des difficultés sur la volumétrie et la diversité des tiers à évaluer, nécessitant des ressources importantes. Les entreprises ne trouvent pas toujours les outils adaptés à cette procédure, notamment pour recueillir des informations qui peuvent être purement déclaratives et manquer de fiabilité. »

Si la responsabilité de l’évaluation des tiers repose bien in fine sur l’entreprise, elle peut s’appuyer sur des sociétés comme Consors Intelligence. Nous sommes conscients des enjeux pour nos clients et observons également les constats dressés par l’AFA. Il est toutefois possible d’y répondre de manière opérationnelle et efficiente tout en dépassant le déclaratif et les bases de données.

Notre métier est de soutenir les entreprises et de garantir leur développement en complétant leur dispositif de contrôle par l’apport d’informations sourcées et opposables. …tout cela en maîtrisant les coûts. Nous nous basons sur les dernières technologies de collecte mais aussi, en fonction de la criticité du tiers, sur un savoir ancien, celui du renseignement humain afin d’identifier, qualifier les risques et recommander les justes mesures d’atténuation.